Brigitte Macron rumeurs genre – L’affaire judiciaire impliquant Brigitte Macron connaît un nouveau tournant. Après la relaxe surprise prononcée par la cour d’appel de Paris, la Première Dame de France, par l’intermédiaire de son avocat Me Jean Ennochi, a décidé de saisir la cour de cassation. Elle entend contester la décision favorable à deux femmes accusées d’avoir propagé des fausses informations sur son identité.
Tout remonte à 2021. Une vidéo YouTube de près de quatre heures diffusait de graves accusations. Les intervenantes, Amandine Roy et Natacha Rey, affirmaient que Brigitte Macron serait née homme et aurait usurpé l’identité de son propre frère, Jean-Michel Trogneux. Le contenu est devenu viral, nourrissant les rumeurs sur le genre de Brigitte Macron.
Brigitte Macron rumeurs genre : une vidéo polémique devenue affaire judiciaire
Dans la vidéo incriminée, les deux femmes ont remis en cause l’existence même de Brigitte Macron. Elles ont soutenu que son mariage était une mise en scène. Elles ont également présenté des photos retouchées et révélé des détails intimes sur sa famille. Brigitte Macron et son frère ont porté plainte pour diffamation et atteinte à la vie privée.
En première instance, la justice leur avait donné raison. En septembre 2023, les deux femmes avaient été reconnues coupables. Elles devaient verser des dommages et intérêts à Brigitte Macron et à son frère. Cependant, la cour d’appel a finalement jugé, jeudi dernier, que la bonne foi des accusées pouvait être retenue. Selon elle, seule une partie du discours relevait de la loi sur la presse.
Brigitte Macron rumeurs genre : une décision contestée devant la plus haute juridiction
Face à cette décision, Brigitte Macron ne compte pas en rester là. Elle estime que sa dignité a été gravement atteinte. Avec son frère Jean-Michel, elle dépose un pourvoi en cassation. Cette étape marque une volonté ferme de lutter contre les discours haineux et les atteintes à la vie privée.
L’affaire Brigitte Macron rumeurs genre pose aussi la question de la régulation des contenus en ligne. Elle met en lumière les dérives possibles des plateformes numériques. La justice devra désormais trancher au plus haut niveau. L’évolution du dossier sera scrutée de près, tant en France qu’à l’international.