Illustration de la polygamie exercer dans certains pays

La polygamie , pratique Africaine

La polygamie nous choque. Mais elle est plus favorable à l’harmonie des relations intimes que la monogamie. http://la monogamie.
En effet, celle des païens subsaharienne obéissait à certaines raisons pratique. On considérait par exemple qu’il était mal et mal malsain pour une femme ou une mère allaitant son enfant d’avoir des relations intimeshttp://relations intimes. Jusqu’à ce que l’enfant soit capable de porter sur sa tête et sans la renverser , une calebasse remplie d’eau.

Point de vue selon certaines régions

Par ailleurs, dans certaines régions, la femme devait s’abstenir de toute relation intime pendant la durée de sa grossesse. La polygamie évitait, dans ces circonstances, de priver pendant plusieurs années l’épou de toutes activités sexuelles. Sinon pris sur le fait que sa femmeL’Émancipation des Femmes : Un Chemin vers l’Égalité était de nouveau enceinte, il est exposé à la condamnation de son groupe social. Ainsi elle préservait la mère de l’inconduite dont croyais t-on, avait de grave répercussions sur la santé des enfants.

En outre, la polygamie leur évitait des manœuvres anticonceptionnelle ou abortive. Choses néfastes entre toute puisque la femme a le désire et le devoir sacré d’avoir des enfants. Il était donc normal que l’époux dont la femme venait d’avoir un enfant cherchât une autre femmehttp://autre femme. Compte tenue des conditions de vie en Afrique, la polygamie avait toute une utilité pratique : les travaux domestiques. Celle-ci représentaient un lour fardeau se trouvaient réparties entre plusieurs femmes. Il fallait en effet aller quérir de l’eau fort loin parfois ramasser du bois pour faire le feu, piler le grain presque continuellement .

La polygamie et ses avantages

La polygamie en outre, permettait d’accroître la production agricole familiale. Comme les femmes dans les régions rurales participaient aux travaux de champs, plus elles étaient nombreuses, plus abondantes étaient les récoltes. Et il en était ainsi, qu’elle que soit l’activité du mari. Autrement dit, il faut avoir plusieurs femmeshttp://plusieurs femmes pour augmenter ses récolte et sa lignée familiale. Selon la coutume, la première épouse ne peut pas s’opposer à ce que son mari prenne une seconde épousehttp://seconde épouse, pour autant qu’elle continue à garder les avantages liés à son statut de première femme.

TOUGMA Roukia

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