Sur la voie de lutte contre la famine, cette année, la journée mondiale de l’alimentation marque un tournant crucial dans la lutte contre la famine. La pandémie de la covid-19 un défi mondial, causant des pertes et des souffrances indicibles. Les effets de la crise climatique sont omniprésent. Avant même que la covid-19 ne mette en lumière la vulnérabilité de nos système agroalimentaires. Des centaines de millions de personnes souffraient déjà de la faim. Leur nombre a augmenter l’année dernière pour atteindre 811 millions. Pourtant, quand on regarde à l’échelle mondiale, il est étonnant de constater que la quantité de nourriture produite est en réalité suffisante pour nourrir toute l’humanité. C’est concevable et inacceptable.
La mauvaise gestion des nourritures produite au moment de famine
En effet, c’est assez surprenant de constater que 14 pour cent de la nourriture que nous produisons est perdue et encore 17 pour cent gaspillée. De plus, il faut prendre en compte les autres facteurs de stress tels que sont, notamment, les ravageurs et les maladies. Les catastrophes naturelles, la perte de biodiversité, la destructions des habitats et les conflits. Pour mesurer ampleur de la tache qu’il nous faut accomplir. Savoir satisfaire les besoins alimentaires croissants de la population mondiale. Tout en réduisant les incidences des systèmes agroalimentaires sur l’environnement et le climat.
Les mesures misent en œuvre pour la lutte contre la famine
De nombreux projets peu coûteux et percutants peuvent aider des centaines de millions de personnes. A mieux répondre à leurs besoins alimentaires. A titre d’exemple de la lutte contre la famine. Des interventions ciblées de recherches-développement destinées à développer les technologies dans le secteur agricole. Apporter des innovations dans l’agriculture numérique et augmenter les taux d’analphabétisme, chez les femmes peuvent grandement contribuer a faire reculer la faim. De même, d’autre éléments essentiels, comme l’amélioration des données, la gouvernance, ainsi que les partenaires clés. De plus qu’ils définissent leurs voies nationales vers la transformations en fonctions des réalités et besoins qui leur sont propres. En réalité, nous devons également prendre conscience du fait que les scientifiques. Les agents des administrations publiques, seront jamais en mesure d’induire seuls tous ces changements dont nous avons désespérément besoin.
OUEDRAOGO ASTRID KORYL WENDINGOUNDI MATRICULE: Esc_22_003800
